• If I could find my way back home, where would I go?
    When everything about me, I used to be,
    Shivers in the sheets and the blankets of snow
    Lost out in the woods were you're looking for me...

     


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  • La vie, c'est comme une dent
    D'abord on y a pas pensé
    On s'est contenté de mâcher
    Et puis ça se gâte soudain
    Ca vous fait mal, et on y tient
    Et on la soigne et les soucis
    Et pour qu'on soit vraiment guéri
    Il faut vous l'arracher, la vie.

    Boris Vian.

    Faut l'entendre chantée par Reggianni. Faut que je la colle ici.
    Aucun rapport avec le livre, aucun rapport avec le titre, le point commun c'est moi. Patchwork foireux de ce qui passe, du peu qui reste.
    c'est le moment de croire qu'on peut etre aimer pour ce qu'on aime.


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  • Paroles: Daniel Guichard. Musique: JP Kernoa, Christophe 1972.

    Post perdu : ce sont des choses qui arrivent (encore) il ne reste que la musique (dommage).

    Faut que je me lave, je sens le sperme.


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  • J'aimerais passablement m'introduire quelque part.

    ...

    Evidement ça ne veut rien dire. Ca reste tres peu de temps compréhensible pour moi même. Dans quelques jours, ces mots seront étranges pour moi aussi. Je leurs donnerais un sens nouveau, comme une impression fausse de ce que voulais dire et finalement de ce que je suis.
    Mon ami FP me dit :
    " j'ai toujours évité, avec horreur d'etre compris. Etre compris c'est se prostituer. J'aime mieux êrte pris sérieusement pour ce que je ne suis pas, et être ignoré humainement, avec décence, avec naturel..." FP LI 128.

    Je me demande s'il cherchait aussi à etre incompris de lui meme ?


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  • J'ai passé des vacances de merde. Je pourrais dire en quoi mais on s'en branle, enfin moi surtout. D'ailleurs je n'étais pas parti pour passer des vacances de rêve.
    J'étais juste parti comme tout le monde. Et j'en ai vu des comme tout le monde sur la plage avec leur corps dénudé et gras, pas encore tout à fait bronzé. tous là au même endroit que moi, sur quelques mètres carré d'un sable pas tout à fait blanc. Je les vois encore plantés sur leur serviette à mater les culs qui passent... les mêmes culs que moi d'ailleurs. J'ai pris des photos de chiens ... enfin d'un chien. Je collerais bien sa tronche sur le blogg mais voila ce chien est un proche et je ne tiens pas à exploiter un animal à des fins personnelles. C'est immoral.
    J'ai fais des photos de Tramways et de ruelles aussi et de gens que je ne connais pas devant des monuments que je ne connais pas.

    Ici rien de neuf à part 473 mails que je ne lirais pas, et si j'en crois la rumeur... je devrais être promû...tout est possible - surtout le pire.
    Je mange donc je chie , tout va bien.

     


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