• le vent souffle dans mes branches et Tu n'es pas sans savoir que les mots me fuient, que je me souviens du temps maudit que j'ai laissé s'égarer au gré dans le noir et celui que je passe à vendre mes âmes au diable. je sais compter jusqu'à cent et plus s'il le faut, pendant que tu te caches. moi il me manque le courage de me dévétir de peur qu'on me recouvre de faux samblants. je me suis trompé sur moi mais j'aurais du me douter que les autres aussi. on en est tous là à ne plus pouvoir faire machine arriere et à se perdre dans le trafic. la pluie, nous ramène dos à dos au centre de nos vie et le bleu est un joli rouge au bout du compte, ce soir.

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  • Je vois bien que oui. elle le cherche ici. le trouvera t'elle d'ailleurs ?
    Chi lo sa ? it's none of your bussiness ...

    Mlle K cherche l'amour.


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  •  

    J'ai oublié mon post sur mon pc du taff mais c'est toujours la meme litanie ...

    Il était question du vent dans les feuilles, du froid au bout des doigts et de sel. il était question d'allégeance* mon poème préféré de Char, d'un manège qu'on appelle la vie, de cette fille en rouge qui s'appelle Chimère et de cette chanson yes i am** de zelmani qui me soulage un peu en ce moment...


    * Il dessine l'espoir et léger l'éconduit. Il est prépondérant sans qu'il y prenne part....
    ** I am tired, yes I am. I'm a coward, yes I am ... cause i want you ...


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  • Magic.

    Ce soir, on joue. Le dragon crachera son feu éternel. La victoire viendra ... de l'exterieur du pied.

    Quando sobes ao relvado
    Teras sempre a curva ao teu lado
    90mn sem parar de cantar
    Nos vivemos para te amar ...




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  • J'ai comme envie de faire du vide. poser ses sentiments qui m'empeche d'avancer. cette confusion. le monde continue sans nous. tu me manques elle me dis sur un sms. moi aussi je me manque. celui qu'elle a connu celui qui avait le béguin pour elle celui qui voyait personne d'autre quand elle etait là. maintenant que ces sentiments là ont disparu et que les choses sont différentes j'en suis à regretter non pas elle mais ces sentiments que j'avais pour elle. je me sentais exister dans cette dépendance chaque souffle, chaque minute, je les sentais passer. à force de ne plus rien vouloir ressentir on finit par plus rien ressentir. super.
    c'est quoi le pire ? je ne reve plus mon amour, je ne reve plus tous les jours...
    je croyais que tu méritais mieux que moi et finalement je me dis que bien évidement, je te voyais pas à la lumière du jour.
    je me souviens des mots de celui qui n'est plus mon ami - vous etes ensemble ? hein ? - et je revois ta bouche comme un fruit sous la pluie...
    ce putain instinct de survie qui nous fait fuir le danger. tu n'etais pas celle que j'ai aimé le plus mais celle pour qui j'ai tout quitté.
    je joue un second rôle dans ma propre vie.

     


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