• Bien sur j'ai revu Mlle A après notre expérience ratée.
    bien avidement ni elle, ni moi, nous ne voulions rester sur cet échec.
    Il faut bien remonter a cheval après une chute. c'est bien connu.
    Et comme tout vient par surprise a celui qui ne s'y attend pas, cette fois, ce fut sans préméditation. une opportunité du moment diront certains, une combustion spontanée selon moi. l'adultère comme un crime de sang, chaud et rouge.
    Nous sachant seul a cette heure tardive, l'occasion fit une fois n'est pas coutume, un larron, moi de toute évidence, puisque c'est main dans sa culotte, que je me surpris moi même à vouloir tenter ma chance au tirage attendu qu'au grattage elle m'avait sourit.
    Mlle A ne se montra pas réticente bien au contraire. Mon érection n'en fut pas immédiate pour autant ni des plus fermes par ailleurs, une "demi-molle " comme on dit chez nous, dans les vestiaires pour hommes ou la virilité se mesure en cm, du coin de l'œil. Heureusement l'appétit me vint en mangeant, et mon ardeur de plus en plus visible au grès de ses caresses.
    Dans un bureau donc, en haut d'une tour, dans la moiteur estivale, cette fois ci, seule la clim' était en panne. Dieu merci.
    Nous avons donc baisé, il n'y a pas d'autre mot, pas de plus fort, pas de plus juste, mais même celui la ne saurait contenir en cinq lettres un tel sentiment de vie, de désir de mort.. Passant en revue toutes les positions possibles et envisageables entre une table et une chaise, avec a mes pieds, mon pantalon baissé, nous nous savions limités. Limités au plaisir. Elle m'offrait en plus de son corps, un autre visage, rouge de plaisir et un regard intense qui s'accrochait au mien comme si elle y cherchait la plus secrète vérité sur moi ou sur elle même.
    Je ne sais pas pourquoi, mais peut être était ce le cas - et a vrai dire pourquoi pas?
    je trouvais son sexe vraiment étroit, serré comme s'il avait été "d'une taille en dessous", étrange mais très agréable. j'eu la courtoisie de ne pas lui en faire part, sachant que dans ces moments la j'ai tendance malgré moi à simplifier mes pensées, une tendance naturelle a vulgariser. je lui épargnais donc un "tu as une bonne petite chatte" incongru.
    J'appréciais chacune de ses attitudes, chacune de ses postures, simples et sophistiquées, trop sensuelles pour être naturelles et pourtant .
    Mes mains ne quittaient ses hanches que pour caresser ses fesses rondes ou ses petits seins délicats.
    Jamais je n'avais connu quelqu'un comme Mlle A, quelqu'un qui donne et prend autant de plaisir sans tricher. Pour ma part je restais interdi n'osant m'aventurer à des gestes ou à des paroles plus osés, concentré et investi dans l'action, attentif à ne pas jouir trop vite.
    C'est dans sa bouche que je finis par me rendre, par m'abandonner à une jouissance muette, bien trop courte et comme bien souvent en ce qui me concerne, coupable.
    C'est avec un sourire assuré qu'elle me nettoya soigneusement le sexe comme pour le remercier d'avoir bien voulu faire cette fois ci, son office, me faisant remarquer avec indécence qu'elle aimait ca . je faillis rougir. Mais était ce vraiment de l'indécence ?
    Je dois dire que cette expérience la, reste pour moi une expériences à part, particulière.
    C'est vous dire la pauvreté affligeante de ma vie sexuelle.


    9 commentaires
  • J'ai fais l'experience de la panne sexuelle.
    je ne savais pas que cela pouvais etre aussi dur à vivre.
    je ne pensais pas meme le vivre un jour.
    un jour, oui, c'etait le jour, je n'ai jamais vu Mlle A la nuit.
    c'était un adultère diurne.
    Que d'impuissance, que d'embarras que de frustration
    je la revois désarmée, ne sachant que faire pour pouvoir faire monter en moi l'erection néccéssaire a l'acte, l'acte II donc, puisque l'acte I etant la phase antérieure celle obligée de la séduction. 
    Je la revois dévorant mon sexe de sa bouche gourmande devinant chez elle, un gout prononcé pour la chose (la bite en l'occurence) je me revois carressant ses cheveux me disant que d'une part qu'elle me sucait bien, qu'elle me sucait trop bien, qu'elle me sucait trop et qu'elle ne me branlait sans doute pas assez, mais va donc expliquer toi à une fille qu'il serait bien qu'elle te branle un peu histoire que tu gonfles, toi, sans que ca ne la gonfle, elle.
    La fellation étant si subtile, fragile préliminaire de tous les préliminaires, que de gacher cet instant par une reflection d'ordre pratique, voire technique, serait suscebtible de casser le charme du moment ...
    Abstention donc, je la retourne et j'attends le second tour.
    Le cunnilingus que je m'acharnait a lui promulguer tout en tirant sur la corde, sur ma corde enfin mon bout de corde, lui donnait du plaisir certes mais il m'éloignait moi, de celui de lui en donner. en gros , plus je la léchais plus elle prenait du plaisir, plus je me trifouillait, plus les chances de me voir durcir s'éloignaient, plus la frustration me gagnait...
    que faire ? - je me disais


    Queue - Fer

    les mots - taille 58 - dans ma tete impregniaient mon esprit
    la queue entre les mains, je n'avais plus la tete à ca.
    je branlais mon echec, mollement.
    elle m'aida du mieux qu'elle pu et m'acheva d'un
    c'est pas grave, c'est des choses qui arrivent...

    juste pour ca je lui aurait défoncer le cul
    mais voila, je ne pouvais pas.


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  • Je n'ai pas encore parler de C.
    C partage ma vie.
    C partage mon lit.
    C me donne tout et plus encore.
    je suis son débiteur.
    je lui doit l'amour qu'elle me porte.
    avec les intérets en sus.
    C m'aime d'un amour solaire, d'un amour scolaire.
    je suis tout pour elle, elle est tout a moi.
    C me tient par la queue.
    C se trompe, quand je la trompe, ce n'est pas moi.
    C pour aimer
    C pour tricher
    C pour perdre encore
    C pour revenir dans C bras.
    C a reussi a me faire croire que le maitre C moi.
    C est ma part d'innocence
    celle que j'ai perdu
    bien avant C.


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  • Avec Mlle A c'est fini.
    j'ai parlé de temps et de distance. elle a compris.
    Il faut savoir rompre. parfois.

    Je pense qu'elle a des sentiments.
    Elle ne dit pas je t'aime. Ce n'est pas son genre.
    Et mon genre à moi c'est le mâle.

    Je ne cherche pas l'amour.
    l'amour compense les plaies, les vides, les manques.
    il ne résoud rien, il justifie.


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  • je viens de voir Mlle V. nous avons partagé un moment autour d'un café.
    cela faisiat longtemps.
    je ne sais pas trop comment l'aborder mais bon elle m'a mis de bonne humeur.

    ca me change des cons.
    serait elle un ange ?

    je ne crois pas.

    Retour au bureau. faire semblant.


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