j'ai toujours eu un faible pour Sheryl Crow pour sa plastique, pour sa musique, et pour sa prise de position publique contre la guerre en Irak. Belle, talentueuse et engagée. J'ai cru comprendre en lisant la presse spécialisée qu'elle s'etait amourachée d'un cycliste texan bien connu chez nous, grand ami d'un autre texan célèbre mais pour d'autres raisons. Ce cycliste ayant eu récemment des propos consternants, j'étais en droit de me demander : mais que fait elle avec un crétin pareil ?
j'ai lu avec intérêt dans un autre genre de presse non moins spécialisée que les cyclistes (dopées ?) etait tres endurant et pas que sur un vélo et qu'a chaque etape dans leur lit défait les nombreux va et vient de femmes bien renseignées venaient briser dans un râlement satisfait le calme réputé de certains hôtels de province.
Ceci expliquant peut etre cela, j'en déduis ma belle Sheryl, que si la bite n'a pas d'œil, la chatte elle, n'a pas d'oreille...

Y a quelqu'un qui passe et qui tousse... devant mon open space. Mr R a roulé son truc dans les toilettes. Le monde du travail me montre a nouveau son ingratitude. je ne devrais pas me vexer pour si peu car tant qu'on me fait pas un deuxième trou du cul, ça me va. Je manque à mes obligations. je dois être un gros con pour les autres. je déménage sous peu, avec peine, sans regret. j'ai peints les murs fait deux trois cartons. J'ai envie de baisser avec n'importe qui pourvu qu'il y pas d'obligations. je n'ai pas envie de publier ce post de merde. il est 17h15 je devrais déjà être parti. je passerais bien sous une échelle pour voir.

cette alternative ne ressoud pas toutes les contradictions mais elle offre une possibilité différente d'exister.

Voila comment je l'aborde cette journée. parler moi d'amour et dites moi des choses tendres. un peu salace aussi. j'ai besoin de quelque chose de nouveau et d'éphémère. un p'tit bonus. et j'ai envie que ca me tombe tout cuit entre les mains. j'attends la fin du cycle. une fin de cycle est souvent marqué par un signe. je veux un signe fort.

Dans la vie y a trop de champs obligatoires.